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Sachez tout d'abord que cette attraction est inspirée du second Film de George Lucas concernant Indiana Jones intitulé "Indiana Jones et le temple maudit".
Indiana Jone: Indiana Jones est un personnage de fiction créé par George Lucas et Steven Spielberg. Fortement inspiré des héros des films d'aventure de l'âge d'or du cinéma américain, il est le héros de
trois films, d'une série télévisée et de plusieurs jeux vidéo.
Les aventures d'Indiana Jones se déroulent principalement dans les années 1930, juste avant la Seconde Guerre mondiale.
La série et le prologue du troisième volet cinématographique retracent l'adolescence d'Indiana Jones au début du XXe siècle.
Henry Jones Junior, dit "Indiana" (Indiana étant le nom du chien familial), est professeur d'archéologie, à la suite de son père le professeur Henry Jones. Contrairement à ce dernier, qui serait plutôt "rat de bibliothèque", il est plutôt "homme de terrain", et n'hésite pas à faire parler les poings et les armes si cela se révèle nécessaire. Dans ses aventures, il est en général vêtu d'une veste de cuir, d'un chapeau et porte à sa ceinture un fouet. D'un naturel plutôt macho, il a un certain succès auprès des femmes; bon nombre de gens prétendent que sa cicatrice au menton y est pour beaucoup. Son plus grand point faible (exceptées les femmes) est une herpétophobie qui semble irraisonnée.
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Ses aventures l'ont conduit aux quatre coins du monde et l'ont fait se confronter à une secte secrète en Inde (dans Indiana Jones et le temple maudit), et surtout aux nazis et à leur armée (dans Les Aventuriers de l'arche perdue et Indiana Jones et la dernière Croisade).
Inspirations La première inspiration de Indiana Jones est l'univers des comics d'aventure des années 40 dont Lucas se régalait. Jim la Jungle (Jungle Jim), le héros de Alex Raymond, est le symbole de ces aventuriers en lutte avec des ennemis farouches au sein d'un monde tropical aux pièges impitoyables. De là vient l'esprit (y compris les allusions "colonialistes" qu'on lui a parfois reprochées, et qui ne tiennent qu'à un souci d'authenticité
post-moderne) et le rythme trépidant (dans les comics ou serials, les péripéties s'enchaînent infernalement à raison de neuf cases publiées chaque semaine).
Steven Spielberg, peu amateur de ces bandes dessinées, a préféré parsemer les récits de références cinéphiles.
Le Trésor de la Sierra Madre est le meilleur exemple; on peut citer aussi la "bilogie indienne" de Fritz Lang, Le Temple du Bengale et Le Tombeau Hindou.
Certains, peut-être par excès d'interprétation, voient également des références sionistes dans le premier épisode, à travers la puissance de l'Arche d'Alliance (= du peuple juif) terrassant le nazisme.
Cela semble peu probable étant donné qu'à cette époque Spielberg était encore très laïc. Ouvert en 1993 à Disneyland Paris afin de relancer l'attrait du parc. C'est la première attraction de Disney incluant un looping et qui est le seul réel élément de l'attraction.
Le thème de l'attraction est la visite d'un temple en ruine redécouvert par l'archéologue-aventurier, Indiana Jones. Après avoir parcouru la jungle et traversé le camp de base (une longue file d'attente) le visiteur grimpe l'imposant escalier flanqué de deux statues de serpents. En haut face aux visiteurs, un cercle de pierre est parfois traversé par un train. C'est le lopping. Ensuite on descend vers le quai d'embarquement pour monter dans les wagonnets.
Le train monte en haut de l'attraction puis fait quelques virages, remonte à nouveau pour partir à vive allure vers le looping avant de rejoindre la sortie. Le looping est peu visible dans l'attraction c'est seulement au moment où la montée semble un peu longue que l'on s'aperçoit que l'on vient d'avoir la tête en bas.
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Le style Architectural du temple du péril vient du temple de Mahâballipuram.
Mahâballipuram (Mahâbalipuram, Mavalipuram ou Mamallapuram) est un village indien situé à 60 km au sud de Chennai (Madras) sur la côte de Coromandel. Il abrite un site archéologique de première importance
de l'Inde du sud.
Histoire
Au VIIe siècle, du temps du règne de la dynastie Pallava, Mahâballipuram était probablement un port important en communication avec le Srivijaya en Indonésie et le Royaume du Champâ sur la péninsule indochinoise.
Cependant, si aucune installation portuaire n'a été retrouvée à ce jour, le tsunami, conséquence du tremblement de terre du 26 décembre 2004, a mis à jour des structures qui pourraient être reliées à cette activité.
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Patrimoine
Le site comporte un grand nombre de monuments hindouistes dédiés à Shiva, à Vishnou, mais aussi à Krishna et aux héros du Mahabaratha. Les trois principaux monuments ou groupes de monuments sont : -La descente du Gange ou La Pénitence d'Arjuna: La Descente du Gange est un bas-relief, datant du VIIe siècle, probablement le plus grand au monde. Les sculptures qui couvrent la totalité de la surface de deux énormes rochers, soit 27 mètres de long sur 9 mètres de haut, dépeignent le cours du Gange depuis l'Himalaya tel que décrit dans le Panchatantra. La légende raconte que le roi Bhagiratha fit couler le Gange depuis les cieux pour purifier les âmes de ses ancêtres. Mais les choses ne tournèrent pas comme prévues et le roi se rendit compte que le fleuve allait inonder toute la terre. Il fit donc pénitence dans le but d'obtenir l'aide de Shiva pour stopper le désastre attendu. Le dieu descendit alors sur la terre et disciplina le Gange en le faisant passer au travers de sa chevelure. Ce miracle attira quantité de créatures qui vinrent pour l'observer.
La fissure entre les deux rochers est la partie la plus célèbre du bas-relief. C'est là que se trouve l'image de Shiva. Au-dessus de celle-ci, on trouve les ruines d'un réservoir d'eau qui laisse à penser qu'autrefois de l'eau s'y écoulait pour matérialiser le Gange. Hormis les nombreuses représentations divines, le bas-relief dépeint la vie de village en Inde au VIIe siècle, figurant des scènes de la vie quotidienne. Dans la partie supérieure, à droite de la fissure, le donateur et mécène, le roi Pallava Mahendravarman (580–630) est représenté en compagnie de ses trois épouses. Dans la bas, à droite de la fissure, on reconnaît un chat yogi en posture de méditation, des souris insouciantes dansant autour de lui. La scène figure un dicton de la sagesse populaire indienne qui conseille de se méfier des faux sâdhus. Le bas-relief est aussi appelé parfois la Pénitence d'Arjuna. Il y a, du reste, controverse sur son interprétation. À gauche du bas-relief, se trouve un petit temple excavé appelé Pancha Pandava Mandapa.
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Le Temple du Rivage
Le Temple du Rivage est le seul restant, d'après la tradition, d'un ensemble de sept temples construit à la fin du VIIIe siècle par le roi Pallava Râjasimha Nârasimhavarman II et s'étendant sur dix kilomètres de rivage. Le temple, qui a souffert depuis douze siècles de sa situation sur le rivage, est maintenant protégé de l'érosion éolienne par une haie et de celle des vagues par des blocs de rocher mis en place par le gouvernement d'Indira Gandhi, blocs qui lui ont permis de résister à la vague du tsunami du 26 décembre 2004.
Cependant cette vague qui a déplacé de grande quantité de sable sera peut-être à l'origine de futures découvertes concernant le site.
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çi dessus Les Ratha Dharmaraja et Bhima et plan des Ratha du sud. Les cinq Ratha (Pancha Ratha) — Yudhisthira (ou Dharmaraja), Bhima, Arjuna, Draupadi et Nakula-Sahadeva
— sont des monuments monolithiques de tailles et de formes différentes excavés d'une petite colline, descendant en pente douce vers le sud, au sud du village.
Le terme ratha est incorrectement utilisé ici car il signifie « chariot » (voir Puri), comme ceux utilisés dans les processions. Les Ratha de Mahabalipuram n'ont pas de roue, contrairement au temple de Sûrya de Konârak qui
est en forme de chariot avec des roues, tiré par des chevaux sculptés.
Le Dharmaraja a été dégagé à partir de la partie la plus haute de la colline, puis suivent par ordre décroissant de taille, le Bhima, l'Arjuna et le Draupadi.
Le Sahadeva a été excavé d'une roche un peu plus grande placée à l'ouest de Draupadi. Juste devant le Draupadi, deux autres roches plus petites ont été sculptées en forme d'éléphant (G) et de lion (H), le véhicule
de Durga. Derrière le Draupadi et l'Arjuna, qui se tiennent sur une plate-forme commune, se trouve un Nandin (B), un boeuf, véhicule de Shiva.
Ces Ratha représentent les formes de temples en service à l'époque de leur excavation et qui étaient faits de matériaux périssables.
Caractéristiques des Pancha Ratha Draupadi (A), en forme de hutte avec toit de chaume, dédié à Durga ; Il s'agit d'un temple dédié à Durga au plan simple, carré, à une cella. Sa toiture évoquant les toits de chaume
rappelle sans doute des chapelles de villages construites en matériaux périssables et qui n'ont pas survécu.
Ce modèle restera sans lendemain dans la pierre, mais sans doute toujours important dans l’architecture populaire. Arjuna (C), structure pyramidale plus petite que celle du Dharmaraja. Sans doute dédié à Shiva, étant donné la
présence du taureau Nandi couché à l’arrière, ce temple présente un plan simple, carré avec des ressauts, précédé d’un vestibule aux parois nues. Il est marqué par le style dravidien, comme le montre sa toiture
pyramidale de faux étages décroissants. Son décor sculpté montre des divinités associées au dieu principal.
Bhima (D), temple à étages, avec colonne à piètements de lion, transposition libre de l'organisation d'une salle de réunion bouddhique, dédié à Vishnou. Ce ratha de plan rectangulaire, est couvert en berceau brisé.
On note de petits édifices en bas relief sur la corniche.
Dharmaraja ou Yudhisthira (E), surmonté d'une structure pyramidale de trois étages, inachevé, le seul portant une inscrïption faisant référence au roi Pallava Nârasimhavarman Ier. Dédié à Shiva, il est bâti sur le même
principe que le ratha d’Arjuna , un plan carré et une véranda, une toiture dravidienne à deux faux étages, et une corniche avec des réductions d’édifices. On note peut-être l'ébauche d’un déambulatoire. Les divinités
sculptées à l’extérieur comportent un Shiva androgyne et un hari-hara.
Nakula-Sahadeva (F), de structure absidiale, dédié à Indra. Très inachevé, ce dernier modèle présente un plan original absidial avec un porche soutenu par des colonnes de style mamalla.
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ici la boule de beurre de Krishna. Il y a quatre autres ratha ailleurs dans Mahabalipuram. Un grand nombre de temples, souvent excavés, sont aussi éparpillés sur le territoire du village. Enfin, on trouve également dans le village un énorme rocher vaguement sphérique appelé la boule de beurre de Krishna. Le site de Mahâballipuram est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1985.
Lien vers d'autres images du temple de Mamallapuram: http://images.google.fr/images?hl=fr&sa=N&resnum=0&ct=result&cd=1&q=temple%20de%
20mamallapuram&spell=1&tab=wi Avant de quitter Adventureland pour Fantasyland il est temps dévoquer la musique d'Adventureland:
Parfois orientale,parfois africaine,parfois tropicale Adventureland nous emmene quotidiennement aux 4 coins de la planète à travers ces divers styles musicaux: L'Afrique: Une grande partie de la musique est une musique de style percussions. De nombreux groupes d'origine Africaines se sont d'ailleurs produits au sein de ce land. Les plus célèbres d'entre eux étant maitre nono et son groupe "elima".
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Leur instruments sont composés de plusieurs types de percussions:
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Les Bugarabu
Tambour uni-membranophone, le Bougarabou ou Bugarabu est composé d'un fût de bois creusé et taillé de forme tronconique sur lequel une peau animale (chèvre, ...) est tendue grâce à un système de cordage comme celui du Djembé pour sa version la plus moderne et par un système de chevilles comme le Sabar, pour sa version la plus ancienne.
Souvent confondu avec le tambour Djembé, le Bougarabou serait originaire de Casamance (sud du Sénégal) et de Gambie. Mais il est fabriqué aussi sur l'île de Madagascar et orné de sculptures.
Pratiqué en set de trois à quatre tambours, ils sont placés les uns à côté des autres, accordés au grés de l'instrumentiste et de son répertoire.
L'instrument repose généralement sur un pied (un stand), le joueur se place debout et joue avec les mains dont les poignets portent des bracelets en cuir ornés de grelots.
La sonorité de l'instrument se rapproche de la "conga cubaine".
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Les Djembé
«On joue du djembe dans le monde entier» a affirmé Mamady Keïta lors de l'inauguration des cours de l'école Tam-Tam Mandingue de Paris, le 27 Septembre 1992. Et voici que de par (ce vif intérêt pour) la symbolique et les valeurs qu'il véhicule, il s'intêgre peu à peu à
notre culture occidentale. La variété de ses timbres, son «spectre sonore» très large, du grave à l'aiguë, ainsi que sa puissance lui permettent de s'imposer. A présent utilisé hors de son contexte culturel, il apparaît comme soliste au sein d'autres musiques percussives ou non.
Petite incursion au coeur de l'Afrique En Afrique, il nous vient de l'Empire Mandingue*. Une société hiérarchisée en castes (les
griots*, les forgerons, les cordonniers), avec une langue commune (le Bambara) et un roi (le Mansa). Composé de nombreuses ethnies, les groupes principaux en sont : les Bambara* (centre du Mali*), les Malinké* (l'est de la Guinée*), les Dioula (Côte d'Ivoire*)…
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Le rôle social
Le Djembé est une entité vivante et délivre un message, une parole codée, allant au-delà du divertissement musical. Avec le Tamani (tambour d'aisselle), ses sorties accompagnent les événements de la vie des sociétés agraires (funérailles, mariages, naissances, circoncisions, guerres, récoltes…) En effet, la musique traditionnelle mandingue n'est que rarement exécutée en dehors de son contexte social habituel et n'existe que pour un
évenement culturel précis. Elle fait partie avec la danse de l'opéra sacré dans lequel les masques expriment l'ordre des choses de ce monde. Soulignons les liens fondamentaux et indissociables qu'elle a avec le langage gestuel. En effet la danse perpétue dans le temps la mémoire d'un peuple. Elle est l'expression vitale d'individus n'existant pas en dehors de son groupe social. Cette cohérence culturelle se retrouve dans la confrérie des masques, dépositaire de la mémoire du groupe, garant de son intégrité, véritables « intercesseurs » parlant une langue secrète, ils répondent aux besoins de communiquer avec les « forces supérieurs ».
Au-delà de l'homme et de l'objet porté, ils sont une institution car le porteur d'un masque appartient à une confrérie secrète qui a ses signes, ses codes, son langage, ses lois. Les masques rendent une justice parfois sans appel. Prenant les grandes décisions concernant la communauté, ils transmettent le savoir et le protège de toute intrusion. Le Djembé, entre tradition et modernité : Et voici que l'Occident s'impose aux capitales africaines. Les années 60 annoncent l'indépendance des pays africains, les ballets nationaux se forment, les polyrythmies mandingues sophistiquées s'enrichissent : mise en
scène, phrases à l'unisson, acrobaties, gestuelles… La culture se met au service de l'art scénique et du spectacle. Les artistes deviennent donc de véritables « ambassadeurs » du patrimoine culturel de leur pays.
Fonctionnaires au sein d'ensembles nationaux, ils s'affrontent lors des festivals panafricain (Alger en 1969, Lagos en 1977, etc…). Citons l'exemple de la Guinée « Terre des Arts » où sous l'ancien régime « marxiste » de Sékou Touré*, la culture était considérée comme porteuse de l'identité nationale et fut intégré dans les programmes d'enseignement scolaire. Ainsi, on recrutait de jeunes artistes dans les villages. Durant trois à cinq ans ils suivaient une formation dans les ballets de sous-préfecture puis les meilleurs d'entre eux intégraient les ballets fédéraux. Ensuite, lors des festivals, certains étaient repérés et accédaient aux ensembles nationaux tels Les Ballets Africains de Guinée (1959) et les ballets Djoliba (1964). A ce sujet, voir le film de Laurent Chevalier sur Mamady Keïta : Djembefola ! Depuis dix ans, la politique culturelle des Etats africains se détourne des ballets. Les jeunes ne restent plus
au village et délaissent la tradition pour la modernité. De nombreux artistes n'étant plus soutenus par l'Etat intègrent des structures privées et s'exilent massivement, s'éparpillant sur la surface du globe.
Bien qu'ambassadeurs isolés d'une culture pratiquée collectivement, ils nous sensibilisent à une richesse millénaire. Souhaitons vivement que cette reconnaissance tardive de leur art puisse, tel un effet de miroir, ranimer de sincères vocations. Organologie C'est un tambour de bois (généralement le linké, le dougoura ou l'iroko) en forme de calice recouvert d'une peau de chèvre (autrefois d'antilope) tendue par un tressage de cordes (autrefois lanières de cuir). Il appartient à la famille des tambours en gobelets. Joué le plus souvent debout, porté à l'aide d'une lanière, on y fixe des sonnailles métalliques appelées séssés ou oreilles.
Passons maintenant aux musiques tropicales:les musiques que l'on entend principalement au niveau des pirates des Caraïbes sont dues à ces types d'instruments:
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